Sylvie KLYSS

Passionnée par le dessin depuis l’enfance.

Élève à l’École d’arts appliqués Auguste Renoir à Paris, Cette adamoise d’origine, née dans cette ville en 1963, vit actuellement sur Osny dans le val d’Oise.

Sylvie commence à travailler quelques années à la réalisation de travaux publicitaires puis se dirige vers l’enseignement du dessin et de la peinture tout en se consacrant plus sérieusement à la peinture.

Elle commence par brosser quelques portraits, comme si de chacun de ces visages résultaient d’une introspection. Sylvie peint en s'adaptant tel un caméléon à la technique choisie du moment, allant du papier à la toile, du trait de graphite noir sur la feuille à la peinture à l’aquarelle, elle aime à relever les défis et jongler avec les autres techniques comme l’huile, le pastel, le fusain et donne aussi dans la création de petites sculptures ou peinture sur divers support tel le bois flotté ou l’ardoise…

Elle affirme avec des styles et des formats différents sa sensibilité dans son univers artistique. La ligne de graphite conductrice, s’appuie de mouvements ou d’arabesques intensifiées par de multiples couleurs et matières. Ses portraits côtoient le rêve et la mélancolie. Mais pas seulement elle donne aussi dans différents sujets tel que les paysages intemporels, et compositions diverses qui nous emmène parfois sur les chemins de l’abstraction.

Elle désigne son art comme la galerie de ses sentiments ;

En premier lieu c’est l’être humain qui l’intéresse puis l’âme de ces paysages réels ou compositions semi- abstraites. Son art est un véritable aperçu de l’essence de l’être humain. Elle veut révéler l’essence de chacun de ces visages peints. La réalité devient une effervescence de mystère, où, en peintre de l’âme, La réalité plonge son regard introspectif pour s’y confondre. Ses toiles sont une invitation au recueillement, et à la sérénité intérieure. Les moments quotidiens se transforment en rêves intemporels.

« Pour moi peindre, c’est comme mettre les voiles, explorer mes rêves sous l’impulsion imaginaire de ma sensibilité au bout de mon pinceau pour s’échouer tel des vagues sur les plages du bonheur. »